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Greffe de cheveux

Mon approche
de la greffe de cheveux

 

Lors de votre premier rendez-vous avec le docteur Alain Butnaru, ne vous étonnez pas de saluer

un monsieur au crâne rasé.


Et oui ! Hélas pour lui mais tant mieux pour vous, c’est justement une perte de cheveux précoce qui l’a mis sur la voie de la transplantation capillaire et donc sur votre chemin…

“ Lorsqu’à 22 ans, j’ai commencé à m’inquiéter d’une calvitie déjà importante, j’ai pris rendez-vous pour une greffe de cheveux, avec un grand patron de dermatologie, le Professeur Charles Grupper.

Ma surprise fut la même que la vôtre en me voyant : il était plus chauve que moi ! Pourquoi ?

A cette époque à part quelques lotions complètement inopérantes, seul le minoxidil existait.

Cet hypertenseur permettait quelquefois d’arrêter une chute mais pas véritablement de repousse et à condition d’en appliquer tous les jours !

Ce n’était pas pour moi, aussi terminant ma période de formation chirurgicale, je me suis naturellement intéressé à la transplantation capillaire, et je suis parti pour cela en 1984 à New-York ou des confrères américains m’ont très confraternellement ouvert leurs cabinets et transmis leur savoir.

 

Ils m’ont appris ce qui se pratiquait à l’époque :  la technique des gros implants capillaires avec le résultat totalement inesthétique que nous connaissons.
J’en ai appris la technique aux États-Unis mais le remède étant pire que le mal, je ne l’ai jamais pratiquée !

 

Aucune réponse valable donc à apporter aux demandeurs pourtant nombreux jusqu’au jour où, dans les années 90, est apparue la technique de la bandelette avec micro-greffes (Greffe FUT). Sitôt perçu son intérêt, je m’y suis immédiatement formé et n’ai jamais cessé de la pratiquer.


Et bien entendu ensuite lorsque la technique de la F.U.E. (Follicular Unit Extraction) est arrivée,

je l’ai instantanément adoptée. Elle permet également de traiter des zones nouvelles : les sourcils et la barbe.

 

Plus de 35 ans d’expertise et d’interventions sur des cas, femmes et hommes, plus ou moins difficiles, mais toujours différents m’ont permis de considérablement améliorer mon expertise ”.


Une controverse existe entre les partisans de la Bandelette et ceux de la FUE.

Mon avis est que les deux ont leurs avantages et leurs inconvénients.

La bandelette permet l’implantation en une séance d’un grand nombre de cheveux, mais laisse une cicatrice dans la zone de prélèvement.

La FUE, ne laisse pas de cicatrice, mais autorise une implantation de moins de cheveux par séance.

C’est pour cela que je privilégie la FUE chez les gens jeunes nécessitant une petite implantation,

par contre dès que la calvitie est importante, je préfère toujours la bandelette.

 

Et moi ? Vous demandez-vous.
Hélas, je suis un cas désespéré avec une très mauvaise densité de ma zone donneuse,
des cheveux très noirs et très fins.
Il m’arrive d’ailleurs souvent de refuser des patients du fait de leur nature de cheveux : pas question en tant que médecin de promettre à quiconque des miracles !

En revanche, je pense ressentir le mal-être qu’une chute de cheveux peut provoquer puisque moi-même

je suis passé par la !”.

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